Timothy Welbeck est directeur de la recherche contre le racisme et professeur adjoint d’enseignement à l’Université Temple. Avocat des droits civiques de formation, Timothy est un spécialiste du droit, de la race et des études culturelles. Par conséquent, Timothy est actuellement avocat des droits civils pour la section de Philadelphie du Conseil des relations américano-islamiques (CAIR), où il défend les droits civils et les libertés protégés par la Constitution de ceux qui sont victimes de discrimination et de harcèlement en raison de leur foi, de leur race, de leur appartenance ethnique, et / ou d’origine nationale, en particulier les membres de la communauté musulmane de Pennsylvanie.
Les travaux universitaires de Timothy portent sur les questions contemporaines de l’identité raciale en Amérique, l’intersection des classifications raciales et de la loi dans le contexte américain, les transmissions, les rétentions, les expressions et les évolutions culturelles africaines et afro-américaines contemporaines, le hip-hop en tant que microcosme de l’expérience noire… Il a écrit le livre à paraître « No City for Young Men: Hip-Hop and the Narrative of Marginalization », explore comment le hip-hop communique l’expérience vécue des personnes qui vivent dans les centres urbains à travers le pays, en particulier les hommes noirs vivant dans les grandes villes. Il a également adopté une approche afrologique pour fournir une base pour établir les origines africaines du hip-hop et sa manifestation des transmissions culturelles africaines.
En tant qu’écrivain contributeur, Timothy a publié plusieurs publications en ligne, des critiques et des analyses de la culture hip-hop. En tant qu’artiste hip-hop, il a sorti plusieurs projets, partagé la scène avec des artistes nationaux et internationaux (EPMD, Dead Prez, Immortal Technique, etc), a remporté des concours d’écriture de chansons et a recueilli les compliments des légendes du hip-hop, des créateurs de goûts de l’industrie, des maisons de disques dont Def Jam.
Imaginez si Jay-Z et Lauryn Hill avaient un enfant amoureux, l'élevaient à l'église et ne le laissaient écouter que du gospel et les classiques de la soul. La musique de cette personne ressemblerait à celle de Timothy. En bref, sa musique est ce à quoi ressemble une belle peinture. Écoutez, et vous saurez tout ce dont vous avez besoin...
Timothy Welbeck Tweet
« Dynamique dans son son, audacieux dans son contenu, « The Cost of Living » traverse l’arc du récit personnel d’un MC devenu avocat des droits civiques et professeur d’africologie. Avant que Timothy Welbeck ne devienne avocat, avant d’enseigner dans les universités, avant de devenir auteur, il rappait. Timothy aime dire qu’il est ce qui se passe lorsque votre avocat préféré et votre rappeur préféré sont la même personne. « The Coast Of Living » le ramène au micro et révèle qu’il a encore beaucoup à dire. »
Dynamique dans son son, audacieux dans son contenu, « The Cost of Living » le ramène au micro, et révèle qu’il a encore beaucoup à dire. Sa musique repose sur une base de production hip-hop / soul accentuée par du jazz, le ton sombre du blues, ainsi que des éléments édifiants de la musique gospel. Le contenu présente une narration introspective associée à un commentaire social percutant. Timothy y partage des histoires personnelles comme son cheminement vers la paternité (« Father’s Day« ), comment il en est venu à embrasser son héritage ghanéen (« A Place to Call Home« ), comment ses parents se sont rencontrés (« Ba Bié »), un traumatisme intergénérationnel.
« The Cost of Living » poursuit le travail de l’œuvre précédente de Timothy « Living Wage » dans le sens où l’album explore le travail qu’il faut pour vivre authentiquement à une époque où tant de choses se disputent notre temps, notre attention et nos affections. L’album précédent, « Living Wage » a exploré ces sujets à travers le prisme de la vocation ; « The Coast Of Living » va au-delà du travail. Cela aboutit finalement à l’idée que le vrai travail se fait à la maison; le vrai travail est intérieur. Ainsi, « The Cost of Living » communique le prix à payer pour vivre librement.
Excellente découverte. Dans la lignée d’un J-Live.